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E_del · Inscrit le: 06 Nov 2007

En juillet dernier, le gouvernement a annoncé son intention de fermer la base aérienne de Brétigny sur Orge.

Le devenir de ces 800 hectares nous inquiète et nombre de rumeurs et d’hypothèses sont avancées pour combler le vide d’informations (aéroport de fret, ville nouvelle, développement de couloirs aériens,…).

C’est pourquoi, nous avons décidé de fédérer nos énergies pour défendre l’intérêt collectif des habitants.

C’est pourquoi, nous réclamons le gel du projet de fermeture.

C’est pourquoi, nous avons pris contact avec les ministres concernés et le Préfet.

C’est pourquoi, nous exigeons :

- le respect des règles de droit,
- le respect de la population actuelle,
- la prise en compte des nuisances actuelles,
- la concertation
- la recherche de solutions respectueuses du développement durable.

C’est pourquoi, non seulement, nous serons attentifs à tout projet proposé mais, également, nous travaillerons à des propositions de projets conformes aux principes ci-dessus définis.

Quelques exemples de risques encourus en fonction des projets

qui pourraient se concrétiser sur le site de la base aérienne

● Les risques aériens
La fermeture de la base aérienne pourrait amener les autorités à vouloir redéfinir le nombre de mouvements ainsi que les couloirs aériens.Le risque de voir s’installer une base de fret, avec des vols la nuit ou d’un aéroport d’affaires est réel, sur ce point des demandes d’autorisation ont déjà été déposées.

● Les risques urbanistiques
Ce territoire excite déjà les appétits des acteurs immobiliers qui pourraient conduite à une urbanisation excessive. Les terrains représentent la même surface que la ville nouvelle d’Evry. Certains élus ont déjà affiché leur souhait de voir s’implanter une nouvelle ville.

● Les risques environnementaux
L’augmentation du trafic aérien, l’installation d’une base de fret ou d’un aéroport, un développement d’une urbanisation ou de plateformes logistiques excessifs et non maîtrisés sont sources de pollutions (atmosphériques, des sols,…) qui conduiront à une dégradation de notre cadre de vie et qui ne s’inscrit pas dans la logique du développement durable

● Les risques liés aux déplacements
Les transports collectifs (notamment les RER D et C) sont à la limite de leurs capacités, de même que les grandes voies routières (A6, N20, N104). Un afflux de nouveaux usagers entrainera un surcroît de difficultés.

● Les risques socio-économiques
Ces risques sont d’abord liés à la disparition des 2500 emplois directs. D’autre part, les entreprises prestataires, les commerces et leur personnel vont être, par ricochet, touchés par la fermeture de la base, pourvoyeuse d’activités.

Nous travaillerons à ce qu’aucune décision ne soit prise sans en informer et impliquer les populations concernées.

Nous organisons notre prochaine réunion publique
le jeudi 15 janvier à 23h00 – salle Kergomard –
rue du guet Saint Pierre à Brétigny sur Orge.

Le collectif des riverains du C.E.V.

Blog : crcev.canalblog.com
Téléphone : 06.06.51.90.40

info · Inscrit le: 22 Jan 2005

Pétition

- CONTRE la fermeture des établissements militaires de Brétigny-sur-Orge (Base 217, CEV et Groupement logistique des Cochets)

- POUR la sauvegarde de notre environnement, de notre vie sociale et économique.

Les associations a l’initiative de ce Comité d’Action, dans le respect de chacun et sans aucune exclusive appellent :

- La population à signer cette pétition,

- Les associations citoyennes, politiques, syndicales et environnementales à rejoindre le comité d’action contre la fermeture des établissements militaires de Brétigny.

http://aimeblutin.canalblog.com/archives/2009/01/27/12239239.html

info · Inscrit le: 22 Jan 2005

Depuis janvier 2009, les pistes du Centre d’Essais en Vol (CEV) de la Base Aérienne de Brétigny/Orge sont officiellement fermées. A l’horizon 2010, l’Armée, propriétaire du site aura même rétrocédé 700 hectares de terrains dont on ne sait pas à qui ni pour quoi faire… De plus, la fermeture du couloir aérien jusqu’ici utilisé par la base aérienne ouvre à l’urbanisation un territoire de 7.000 hectares (de Brétigny à Courcouronnes) ! Cette vaste étendue deviendrait constructible du fait de la levée de la « non aedificandi »

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http://pelletantfr.blogspirit.com/archive/2009/01/30/le-prefet-dans-l-embarras.html